Virée - Journée Normande... 10.07.1994.
Le soleil est de la partie... Chose promis, chose due, il fait beau alors on va aller faire trempette à la plage. Les deux compères, Yves et Serge, vont être les seuls à nous accompagner. RDV au Club pour Serge, dans une station de Vélizy pour Yves. Surprise sur l'autoroute, entre Poissy et Mantes, un Guzz' nous rattrape : Claire et Dédé s'en vont en Normandie, à Rouen pour être plus précis, où à lieu cette semaine une concentration de... Bateaux et de nombreux concerts (Jazz, Blues...), pour fêter la libération. Comme nous allions aussi voir les bateaux, ils se joignent à nous pour la journée.
C'est un peu moins impressionnant qu'en 1989 (mais c'était la première fois et il n'y avait que des grands violiers), surtout les bateaux militaires "modernes". On a quand même de quoi s'en prendre plein les yeux et rêver aux grands espaces marins. On retombe toutefois rapidement sur terre (même très terre-à-terre puisque tous les quinze mètres on tombe sur un vendeur de programme ou de cassette vidéo de la manifestation - argent quand tu nous tiens...)
Après un apéritif bien mérité, c'est reparti pour un tour... Direction Deauville par Honfleur puis la côte. Pour ceux qui connaissent, la descente sur Deauville est totalement vide de voitures ! Et finalement nous arrivons vers 17h ! à la plage de Villier sur Mer, but du voyage.
Streap tease rapide et direction la Grande Bleue (sale le bleu). Après avoir évité les monceaux de vacanciers brûlant sous le soleil, et les cailloux pointus (c'est marée basse), enfin on atteint la mer promise. Dieu qu'elle est froide. Et s'est parti pour les courageux (dont je ne fais pas parti mais j'avais un mot d'excuse)... Dans le chenal. Ils se font vite sortir de là par un CRS en Zodiac. En attendant le retour des nageurs, je vais acheter de quoi me nourrir car depuis 8h30 le matin je n'ai rien eu de plus dans le ventre que deux malheureux petits accras lors de l'apéro... Un peu plus tard (ceux qui sont venus sur cette plage avec le KIWI CM se souviendront certainement de la rapidité du service repas... Cela n'a pas changé). Je rejoint tout le monde sur les serviettes... Bon appétit M'sieur Dames...
A un quart d'heure du départ, les deux compères se prennent d'une envie de manger. Il a fallu une intervention énergique du Bureau pour leur faire quitter leurs frittes et leurs bières plus d'une demi-heure après. Enfin, on rentre de jour... On laisse là Claire et Dédé, à la revoyure...
Le retour se fait sans trop de problèmes par les petites routes entre la N12 et la N13, de façon à éviter les embouteillages du retour de week-end et les radars. Sur la fin, la fatigue commence à se faire sentir et s'est avec le plus grand des plaisirs que nous regagnons enfin nos lits... A mercredi...
Bob.
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