Virée - Les Vosges 12->15.05 1994.
Les préparatifs du départ débutent la veille au soir dans le garage de Tino, pour remonter le moteur du CBR, en compagnie de José, Hervé et Johnny. Autant faire le maximum pour qu'il soit des nôtres le lendemain.
José répare des ailettes de l'alternateur (facile le gars) qui furent tordues lors du remontage et une demi-heure pour resserrer les colliers des pipes d'admission (moins facile pour moi).
Malheureusement, notre espoir de la voir repartir est anéanti lors du remplissage du circuit de refroidissement. Un embout sur un coude est dessoudé et laisse passer le précieux liquide. Tant pis, il nous rejoindra le vendredi.
Tout ceci nous amène bien tard et me voilà couché à 1h30 pour être devant la porte de Jean-Mi. à 6h15. Aussi, c'est tout à fait logiquement que je me pointe avec 9 minutes de retard (voir Jean-Mi pour le chronométrage).
Arrivé au Club, Fred nous annonce la quatrième effraction de notre salle depuis le début de l'année (y'en a marre!). elle fait suite à la recette du Bouquet Briard (80 motos et 6 sides. La classe !). La bonne surprise vient de Florence qui se joint à nous avec... Son Bandit. Enfin !!!
Nous partons donc à 7h20 du MC au lieu de 7h. Pas mal, pas mal... Mais quinze kilomètres plus loin, le voyou s'arrête. Il repart mais pour s'arrêter au niveau de Rozay.
Verdict : panne sèche ?!? L'explication, c'est José qui la trouve. La durite d'alimentation fait un coude et l'essence n'arrive pas. Florence pousse un gros soupir, sèche ses larmes et... On the road again ! Nous sommes partis depuis 1h05 et avons parcouru trente-cinq kilomètres. Je vous l'ai dit, c'est Jean-Mi. qui tient le chronomètre.
Pour le ravitaillement, Jean-Mi. en tête s'arrête dans une station. Toutes les pompes fonctionnent sauf le super. Gag ! On continue durant 200 mètres jusqu'à la prochaine qui ne marche qu'avec une Carte Bleue. On continue. Derrière çà freine, çà fait demi-tour, çà repart, çà s'arrête, çà se regarde... Bref, le bordel...
En cherchant une troisième station, nous croisons la Douane Volante qui vient d'arrêter un gars avec une moustache... Terroriste. Elle regarde dans le moteur, des fois qu'il y ait des bâtons de TNT dans le filtre à air.
A la station, il nous manque Fred, José et Franck (merci pour ceux que tu oublies). Le petit rouge se serait-il fait arrêter à son tour ? Non, ils ont seulement fait le plein à la deuxième station. Et oui Jean-Mi, la Carte Bleue de nos jours, c'est comme la Climatisation, tout le monde l'a (Ou presque, hein ! Flo...). Avant de repartir, j'échange ma place avec Piwi sur la moto de José.
Nous cassons la croûte à Nancy. En reprenant la route, Florence me fait éclater de rire lorsque à chaque feu rouge, elle sort sa clé et resserre son rétroviseur. Du vrai Joe Bar T.
Nous arrivons finalement chez Serge, à Remiremont, au bout de 6h20 de périple. Comment je sais çà ? C'est la troisième fois que je vous le dis, Jean-Mi est parti avec un chronomètre.
Après une pause-café et une petite séance mécanique sur le Voyou, nous reprenons la route pour la rendre au refuge, sous la pluie.
Devant le "trempé-mouillé" (expression Poluxienne on ne peut plus explicite), Jean-Mi. et moi faisons en sorte de rassurer tout le monde. Il n'y aura pas de cafards cette nuit : aucun n'aurait réussi à survivre au démarrage des poêles. Le revers de la médaille, c'est qu'on a failli tous y passer. Que voulez-vous, sans ma bouteille d'alcool à 90°, je ne suis plus le même, bien que nous l'extrapolons avec l'essence à briquet de Johnny.
Après le repas, l'ambiance bat son plein. La chambre à coucher ne tarde pas à se transformer en champ de bataille. Tout vole.
Olivier, Serge et moi-même assurons la fermeture. Florence ayant voulu nous suivre à la goutte, nous la bordons dans son lit.
Un peu plus tard, c'est Olivier (?!) qui nous sort de notre torpeur par un "Y a du soleil dehors et la route est sèche." Alors commence la série des : "T'as pas vu mon tee-shirt ? Et moi mes chaussettes ? Quelqu'un a vu ma pellicule et ma ceinture verte ?" Un vrai journal de petites annonces. Moi sur ce coup-là, j'ai perdu toutes mes affaires sauf celle que je porte. Ils n'ont pas été jusque là mais il a fallu se battre.
Une fois le pique-nique chargé, le paysage et les virolos ne tardent pas à pallier aux lacunes du café pour nous ouvrir tout grand les yeux. Nous descendons du col de la "Schleu" et nous dirigeons sur le col du Bonhomme (non Gilles, çà, c'est au retour !!!) pour atterrir à Riquewihr. Il s'y trouve une vingtaine de Mercedes 190 décapotables (A toi François pour les précisions. Les voilà, pour les initiés : des "Pagodes") participant au tour d'Alsace (Mercedes). Puis nous nous rendons au lieu choisi par Serge pour pique-niquer, par une "s'coue-la-nouille" (Définition du petit RTP Illustré. "S'coue-la-nouille", NF, sorte de route à mi-chemin du sentier muletier et du chemin vicinal moyen, dépassant rarement les trois mètres de largeur et ayant la particularité de secouer la nouille. En montagne, bordé par la montagne d'un côté et le vide de l'autre).
Après le repas, nous nous dirigeons vers le Château du Haut-Koëningsbourg. Certains font le tour tandis que d'autres patientent devant les pierres (et incrustent un motard en GTS, immatriculé chez Expo...). Il vaut pourtant le détour avec son moulin, ses "griffes d'ours" et ses golios qui regardent à l'extérieur par les fenêtres, faisant craquer notre Président.
Sur la route du retour (par le Bonhomme), Johnny s'arrête sur le bas côté, sa machine commençant à perdre de la puissance. Grand bien lui en a pris, sa bougie se desserre. C'est Piwi qui s'y frotte et s'y... Brûle. Mais ce n'est pas tout. Le Vmax commence lui-aussi à présenter des signes de faiblesse, avançant parfois sur trois pattes et une soudure sur la roue arrière cède, laissant échapper un peu la pression... Sur Fred qui fait le Zazou avec son frangin.
Mais durant environ quinze kilomètres, je remplace Laurent comme babouin (il prend le Voyou). En bas du col, Fred veut soigner son arrivée devant une dizaine de touristes. Le nez se plante et on faillit seulement faire un tonneau. Au pays du Riesling, c'est de circonstance. Il faut avouer qu'un Rantamplan, cela ne doit pas faire loin de deux Laurent.
En arrivant au refuge, nous avons une bonne et une mauvaise surprise. Tino est là, en compagnie de Carmela... en 4L Savane. Le CBR est reparti mais arrivé à Rubelles ( 5 bornes, record battu), ils ont fait demi-tour, s'apercevant que nous lui avions installé un turbo dans la nuit de mercredi à jeudi.
Une demi-heure plus tard, Yves arrive comme un fêlé (malgré les panneaux "Yves, 100m !", "Yves,50m !!", "Yves, demi-tour !!!" que nous avions placés devant le refuge).
Le soir, trois vosgiens (de plus, n'oublions pas Serge) nous rejoignent et, à la fin du repas, Rémi nous présente Joséphine, la femme qu'il aime. Pour vous éclairer, je vous dirais seulement : "Eeeet des pieds de cochons". (malgré les poumons élevés à l'air pur de la montagne, les vosgiens n'ont rien pu, malgré tous leurs efforts contre un "de Nantes à Montaigu" hurlé plutôt que chanté par le MCMS. Melun, Melun...) Peu après, le champ de bataille de la veille est déplacé dans le réfectoire.
Puis nous nous remémorons le nombre conséquent de problèmes mécaniques et Fredstradamus nous prédit : "J'comprends pas. Mon side ne m'a encore rien fait. Mais vous allez voir, il nous prépare quelque chose de balèze."
Le samedi matin, Olivier croyant être de nouveau le plus matinal est surpris par la présence de Jean-Mi. dans la douche, déjà debout pour faire réparer la roue du Vmax.
Après son départ dans la Savane, soixante-trois (63!!!) Transalp, une Ténéré, une African Twin et un DRS défilent devant le refuge, chiffres recueillis par Pollux (il s'agissait d'une concentre internationale Transalp, basée à Colmar).
Puis Jean-Mi revient sans avoir trouvé la solution, remonte la roue et patiente pour y apporter un cordon de soudure.
Dès le parcours du matin, Fred manque de se cracher dans un méchant gauche, mais fort heureusement le dernier avant une Xième halte, la fixation de son amortisseur de direction venant de casser, rendant la conduite du petit rouge totalement impossible au-dessus de vingt km/h (déjà qu'il s'arrêtait en haut et en bas de chaque col pour laisser refroidir le moteur, les disques -vus rouges !!!- le singe et... les bras). Après la photo dans la neige
et la luge improvisée dans la veste de barbour de Laurent, ce sont des Rislans et du scotch qui lui permettent de continuer avec Jean-Mi, à la recherche d'un garage.
Lolo teste pour la première fois le Voyou, tandis que Flo monte derrière Pollux qui ouvre la route (derrière la KLR Supermotard que j'irai chercher plus bas). Ce sont les pavés dans les épingles que Pollux n'a pas aimées ! J'avais déjà connu çà (vieux blasé va, et dire qu'on en parlait en haut du col sans se souvenir que c'était là) il y a deux ans, mais j'avais eu plus de chance. Le VFR dérape, fini sa course dans les branches et tombe. Florence voyant cela, choisi ce qu'il y avait de plus moelleux gisant par terre : entre troncs d'arbres, branchages, VFR ou Pollux, que croyez-vous qu'elle ait choisi ? Encore heureux qu'il ne pleut pas, sinon seuls les sides passaient.
Finalement la casse est limitée et nous retrouvons Fred, Laurent Piwi et Jean-Mi dans une station service. Là, un client vient vers nous et nous propose son aide, disposant d'un atelier avec... un poste à soudure. Nous laissons donc les sidecaristes en compagnie d'Olivier et rejoignons le point repas, dans une épingle. Là, force est de constater qu'il y a aujourd'hui dans les Vosges deux groupes d'"Allemands en short" qui savent tourner la poignée dans le bon sens (et dire que nous sommes à l'arrêt). A la fin du repas, la pluie fait son apparition, vite remplacée par... un orage.
Nous quittons Franck et Fabienne qui remontent directement sur Paris et nous nous dirigeons dans un bar où, un quart d'heure plus tard, les sidecaristes arrivent trempés-mouillés, avec un Piwi malheureux d'avoir presque sauté un repas (nous les avons quittés trois-quatre heures plus tôt ! Et c'est nous qui avions la nourriture !!!) Fred nous raconte que le bon samaritain de la station veut devenir sidecariste avec un 13 Kawa. Aussi, le fait d'avoir deux sides dans son atelier le comblait de joie. En repartant - la pluie a cessée - nous nous dirigeons vers le ballon d'Alsace, attiré par le soleil qui s'y trouve. De l'autre côté, nous trouvons une bande de motards Belges, semble-t-il dévisseurs de poignées. Alors olivier lance une petite arsouille tandis que nous allons chez Boboche (Denis Bochet, pilote Top Fuel) et découvrons dans son atelier (entre autres) un dragster moto avec un V8 Pontiac de plus de cinq litres (5,7 litres pour être précis). Puis il offre à chacun l'outil de tout bon bricoleur, la canette de Kro. Olivier revient dégoûté de sa course en solitaire.
Plus tard, lors de la... ième halte, Faby se plaint de la dureté de son embrayage. Je regarde et horreur, il est camionesque. Heureusement, nous ne sommes plus loin du refuge et Pollux entreprend la réparation à l'arrivée, tandis que je m'occupe du feu, si, si... Et que croyez-vous qu'il arrive ? Si, si, enfin, moins que la veille et l'avant veille.
De nouveau, Serge exaltant dans la cuisine, est bien normalement une nouvelle fois de corvée devant ses fourneaux.
Le repas se déroule beaucoup plus calmement, peut-être par manque de sommeil, de Vosgiens et de... Désinfectant, mais cela n'en est que mieux. Une fois de plus, je fais la fermeture, en compagnie de Piwi, Serge et Yves.
Le dimanche matin, chacun prépare son destrier, charge ses affaires dans la 4L de Tino et nettoie un peu les lieux. C'est à ce moment que je retrouve mes fringues, gag !
En partant, certains se dirigent immédiatement vers le Haut de la "Schleu" pour y faire de la luge (d'été), tandis que Bob, Faby, Serge, José et moi montons au Hoeneck, un panorama accessible par un "S'coue-la-nouille". Nous redescendons voir nos cascadeurs et arrivons à temps pour voir Florence, cheveux au vent, dévaler la pente à toute vitesse, et freiner à six ou sept mètres de la fin de la piste alors qu'il en faut bien une quinzaine pour avoir une chance d'y arriver entier. Pourtant l'inscription "FREINEZ" devait bien faire ses deux mètres de long. Elle décolle, rebondis sur un pneu et atterrit finalement le cul dans la luge. Bonjour la crise de fou-rires qui s'en suit. Une fois passés Pollux, Lolo et Fred, les autres touristes paraissent minables.
Puis nous nous dirigeons au point-repas, situé en haut d'une série d'épingles utilisée pour les courses de côte. Aussitôt, sans prendre le temps de déposer les valises, Olivier saute sur le GSXF, qu'accompagne Yves, voulant user ses dernières tétines et Serge. Rapidement Fred et Laurent descendent à leur tour. Si la Dufresne's Family se plante, il va y avoir de la crise de nerf d'infirmière à l'hôpital "Non, j'ai déjà eu droit à ma piqûre, voyez avec mon frère..."
Après le repas, rebelote (sans les bagages). Les 4 sauvages remettent çà, avec Lolo en plus. La première fois, Olivier déboule, talonné par Yves. Le seconde, arrivent Olivier, Fred et Yves, dans un mouchoir de poche. Le plus fou est d'entendre le bruit particulier de chacun : hiiiii pour Fred, Scrouitchhh pour Yves (qui frotte les reposes pieds).
La troisième fois, une folle poursuite est lancée. Dans la descente, un side de la dernière guerre (un Zündap) escalade péniblement la côte et commence à élargir sa trajectoire quand 6 fêlées (des noms !!!) lui foncent dessus. Il lui faudra dix bonnes secondes pour s'en remettre. Nous entendons durant toute la montée les rugissements des moteurs martyrisés. Mais juste avant de les voir réapparaître, une voiture sans permis se présente et il s'ensuit une agression (sans rien toucher, on n'est pas des sauvages...) d'Olivier dans l'avant-dernière épingle, d'Yves entre les deux, de Fred et Laurent dans la dernière, panier levé, suivi par Lolo qui en remontrerait à beaucoup. Le pauvre, il doit se faire tout petit dans son pot de yaourt.
Avant de partir, Olivier nous quitte pour rentrer plus rapidement. Malheureusement, quelques instants plus tard, les deux sides et Lolo s'engagent à droite pendant que nous prenons à gauche (!!!) pour retourner chez Serge (il y a des bagages de Vosgiens dans la 4L). Nous attendons un moment chez Serge, espérant revoir nos lâcheurs, mais en vain.
Pour rentrer sur Melun, nous prenons soin d'éviter la RN4 et ses radars, en passant par un col vers Chaumont (et la 19). Le retour se fait à une bonne moyenne, juste perturber par les arrêts essence, car nous roulons à 140.
Arrivés à Bar sur Aube, nous faisons arrêt dans un bar et Florence nous avoue ne pas avoir vu la Croix de Lorraine du Mémorial de Colombey les deux Eglises. Je comprends mieux son arrivée spectaculaire en luge malgré le "FREINEZ". Puis direction une boulangerie, où elle nous fait un numéro avec des bonbons et Yves fait rigoler les boulangères en mangeant sa meringue avec la barbe. La forme revenue, nous remontons sur nos motos en direction de Paris.
Un peu avant Troyes (A Romilly sur Seine APRES Troyes...) dernière halte essence. En repartant, François tombe à l'arrêt, à cause de son genou. Ce doit être une maladie véefférienne (Et un levier d'embrayage réduit, un...). Seulement deux kilomètres plus loin, il s'aperçoit qu'il ne peut plus redescendre les vitesses, sélecteur tordu. Le défaut est vite éliminé et nous continuons notre périple, pensant en avoir pratiquement vu la fin.
Mais que nenni, il nous manquait la cerise sur le gâteau. Passés Nogent sur Seine, François nous dépasse, pour nous faire faire demi-tour (huit kilomètres pour les rattraper, à fond de six !!!). "La moto de Johnny a un problème." En revenant sur nos pas, nous ne pouvons que constater que le problème est de taille (tu parles !!!). Le circuit électrique a grillé, à cause d'une rondelle qui est venu se loger entre le plus de la batterie et le cadre. (J'ai vu une étincelle, suivi par une grosse fumée, sans qu'il s'aperçoive de rien. Le temps de le remonter pour lui faire signe de s'arrêter, il était trop tard... Heureusement je le suivais car autrement je n'aurai pas voulu voir le résultat avec le réservoir plein)
Devant l'ampleur des dégâts, nous nous résoudons à la remorquer. Je pars donc derrière José à Nogent, dans l'espoir de trouver une station ouverte (et une corde).
Finalement, l'idée me vient de nous rendre directement à la gendarmerie, afin de leur demander le gîte (et le couvert ?) pour la Ténéré. Mais le brigadier de garde ne voulant pas en prendre la responsabilité, elle tombe à l'eau. Sur ce arrivent un sergent et son adjoint qui, devant notre désarroi, nous proposent de nous emmener jusque chez un dépanneur. L'adjoint frappe à la porte mais personne ne répond. Il appelle donc le poste de garde pour qu'il téléphone au garage. Banco. Le patron accepte volontiers de nous prêter une corde et de garder la malade durant 24h. Les deux gendarmes, ne voulant pas nous laisser dans la panade, vu le trafic sur la RN19, nous accompagnent pendant le remorquage. La tête que font les autres en les voyant arriver. Florence : "Vous voulez un petit bonbon ?"
Après avoir entreposé la Ténéré dans l'atelier, nous les quittons et allons téléphoner à Tino pour le rassurer (il nous a encore mis minable avec sa 4L) et lui donner rendez-vous une heure plus tard, chez lui.
En repartant, José s'aperçoit que nous avons oublié sa trousse à outils sur l'aire de stationnement. Donc demi-tour, pendant que les autres nous attendent sur un parking, à la sortie de Nogent.
Arrivée à Melun 1h plus tard, il commence à pleuvoir quelques GROSSES gouttes, puis c'est le déluge avant de repartir de chez Tino. La totale quoi !
LE MCMS (au départ, cela a beaucoup bougé)
- Fabienne 450 CBS
- Laurence et Pollux 750 VFR
- Florence 400 Bandit
- Franck et Fabienne 900 XJ
- Tino et Carmela 4L Savane
- Bob 750 VFR
- José et Piwi 1100GSXF
- Olivier 750 GSXF
- Fred et Laurent 1100 GS G + Choda
- Jean-Mi et Gilles Vmax + Choda
- Johnny 600 Ténéré
- Yves 500 KLE
LES VOSGIENS
- Serge 650 African Twin
- Rémi 250 KLR
- Damien 600 KLR Supermotard
- Laurent 600 XLR
Gilles
Belle balade et belle suite de problèmes, hein ?
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